Vendredi
14 juin - Stef, Ben, Gaby, Noé
Dimanche
16 juin - Lisa, Stef, Mick, Noé
Lundi
24 juin - Stef, Noé
Vendredi
14 juin, après une matinée de désob infructueuse près des 2
avens, Stef nous propose d’aller repérer 2 entrées proche de
l’Ibie au départ du Razal. On se gare dans la première épingle
d’où part un sentier bien marqué et sans trop de mal à l’aide
du GPS, nous trouvons les 2 entrées rapidement. Il s’agit de 2
avens espacés d’une vingtaine de mètres mais qui ne communiquent
pas. Faute de temps, on en reste là pour cette fois.
Dimanche
16 matin, nous retournons sur place pour cette fois-ci aller voir ce
qu’il y a au fond. Stef et Lisa équipent la roche des fées n°2
pendant que Mick et moi descendons la n°1. La roche n°1 se descend
facilement, c’est un simple puits de 30m qui donne sur une salle
avec quelques départs sans suite. Le plus sympa c’est la faune
qu’on a croisé au pied du puits, on se serait cru dans un
vivarium. On a pu voir 3 salamandres, 2 crapauds, 2 couleuvres, un
orvet et des squelettes de petits animaux. Une fois sorti, nous
croisons Stef à l’extérieur qui voulait prendre nos cordes pour
pouvoir descendre un peu plus loin dans la roche des fées n°2. Nous
redescendons tous dans la n°2 afin d’aller jusqu’au siphon dont
Judi nous a parlé. Nous enchaînons plusieurs petits puits d’une
dizaine de mètres chacun sans difficulté. Arrivé en bas on peut
voir dans une cloche, un nombre incalculable de griffades,
étrangement au raz du sol. De là, part un boyaux étroit où l’on
sent un fort courant d’air et nous arrivons sur un dernier ressaut
qui donne dans une salle avec un beau siphon et le reste du réseau
très joueur trouvé par le SCA et le CESAME. Après avoir pris un
peu de gaz au siphon, nous ferons demi tour.
Lundi
24 juin après midi, Stef et moi retournons à la roche des fées n°2
pour confirmer les dires, car quand les niveaux d’eaux sont au plus
bas une traversée est possible pour ressortir dans l’Ibie. De
retour dans la salle du siphon (3,3% de CO2 au siphon qui se trouve
en bas d’un plan incliné argileux), le jeu commence. Pas de topo
mais un bon courant d’air à suivre et quelques cordes en place et
amarrages facilitent nos choix pour s’orienter. Ça monte, ça
descend, c’est ludique, on s’amuse bien jusqu’à ce qu’on
perde le courant d’air. Après quelques minutes à chercher la
suite, nous retrouvons le courant d’air dans un départ à droite
d’une salle avec un sol sablonneux, dans laquelle on peut voir la
corde d’une ancienne escalade. Plus on avance et plus ça se
rétrécit, une corde à nœuds encore en place nous permet de
franchir un dernier ressaut et nous finirons par ramper quelques
mètres afin de terminer cette traversée.
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