Présents : Mick, Jean-Louis, Evelyne, Maud, Benoît, Tristan, Mona et Cordélia
Besoin d’une sortie familiale sympa ? Jean-Louis nous propose la grotte de la Toussaint. Le
RV est pris au pont de Tharaux (du côté droit… ou gauche selon d’où l’on vient !). L’équipe
est au complet : on a même 2 enfants qui justifient notre sortie « familiale » : Tristan (expert
du laminoir de Barbette-Estevan) et Mona, 4 ans. La relève est assurée !
Après un tout petit sentier, ouverture de la trappe fermée à clé (à demander au préalable). Et
là, une dizaine d’énormes araignées au corps jaune et aux pattes noires nous barrent l’entrée !
Jean-Louis tente un « Qui veut passer en 1 er ? » et finalement s’élance…
Quelques mètres plus bas, plus de bestioles (à pars nous). On va presque tout droit (oui je sais
c’est très précis) un peu à 4 pattes, un peu allongés et apparaissent les premiers disques et
gours. Franchement, c’est beau. Explications de Jean-Louis sur le balisage des grottes et sur la
nécessité de les conserver propres : donc, lavage des petites mains boueuses dans un peu
d’eau.
Les salles se suivent et sont magnifiques : concrétions, excentriques, baguettes de gour, que
du beau. Evelyne et Mick photographient. On découvre enfin l’hippocampe (ah bon, c’est pas
un taureau ?). Puis on éteint les lampes et Benoît nous raconte une histoire inventée dans le
silence et l’obscurité (eh, benoît, on veut la fin !)…
A ce stade du récit certains se disent que ça manque de jargon des profondeurs du style :
« P40, étroiture, CO2, diaclase ou siphon ». Normal : y’en avait pas ! Et puis je ne maîtrise
pas encore bien le vocabulaire ;o)
Après un retour sans encombre nous avons retrouvé la lumière du jour, le goûter et la glacière
de Mick remplie de bières ! Merci Jean-Louis, c’est une cavité vraiment à faire.
Et au fait, savez-vous pourquoi elle s’appelle La Toussaint ? Parce qu’elle a été découverte le
jour de … Noël ?
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