CR :
Un jour de l’an à la Coume pour la team G.A.S.O.I.L
« Il faut
avoir entrepris de ces explorations souterraines, émouvantes,
surexcitantes au plus haut degré, pour se rendre compte de leur
attrait […] Et de ces impressions si vives, si insolites, on ne se
lasse jamais »
Martel E-A
« Les abîmes op.cit., p 271
Vous l’avez
deviné, Elo avait réussi à traîner, à force de persuasion son
président et ses amis découvrir et redécouvrir son réseau préféré
dans les Pyrénées. Plusieurs « réunions-apéros » ont
eu lieu en amont pour organiser ce séjour, Topos, Bouf, matos…
voyage voyage !
Les principaux
objectifs sont :
- Gouffre
Pierre : Siphon de fer
- Traversée
Hérétique-Penne Blanque
- Gouffre
Raymonde : en bas du puits Delteil
Samedi 28
Décembre : un départ bouchonné pour une longue journée !
(Trajet +
équipement PDG et Puits noir du Gouffre Pierre)
Ils étaient 6
au départ ! 6 passionné.e.s et mordues de spéléo, bien
déçidé.e.s à passer un super jour de l’an à la Coume Ouarnede,
lieu de tous les périples, où tous les rêves sont permis. 125km de
réseaux, des rivières souterraines, des puits à n’en plus finir
dans un écrin de mousse verdoyante. J’annonce donc Notre président
Mick, Noé toujours présent, Pierro la Lune, Cyprien dit
« skyfprien » et Guillaume Lebret tout nouveau membre
félicité du GASOIL !
Il est 7h du
Matin, il fait nuit, on a froid, mais on joue tous à Tetris avec le
camion de Noé et le Berlingot de Pierro. Les kilomètres et les
kilogrammes de cordes prennent de la place !
C’est parti
pour le pays des merveilles ! Nous ne touchons plus terre (sauf
le bourlingot de Pierro bien chargé, sa bâche flottant au vent…).
On est heureux, la musique avec nous, le vent nous portera vite
MAIS…. Que se passe t- il ? tout ralentit ? Un accident
est survenu quelques mètres devant nous… et nous voici à
patienter prêt d’une remorque fermée, intitulée « funérarium
HORSIA »… intéressant. C’est l’occasion de prendre un
deuxième petit déjeuner, heureusement que les deux voitures ne sont
pas loin. 1H30 d’arrêt complet… Qui a dit que l’important
était de partir à Point ?
Tant bien que
mal, nous trouvons notre gite, une belle maison avec un espace
couvert qui n’attendait que notre déploiement de matériels
spéléo ! Attention les amis, la journée n’est pas finie !
Il est 16H et il nous reste à pré-équiper le gouffre Pierre et
équiper PDG en prévision de la traversée. Nous sommes à 30min du
parking de l’ours.
Pierre,
Guillaume et Mick se chargent de PDG. D’après leurs dire tout se
déroula bien, ils firent même du tourisme et des photos ! Plus
en détail, voici le CR du président :
Samedi 28
décembre, il est 16h30. Après 5 heures de route et deux heures dans
les bouchons, nous arrivons enfin à Arguenos, paisible petit village
blotti aux pied des Pyrénées, dans la pointe sud du département de
la haute Garonne. Nous prenons possession de notre logement, une
ferme du XVIIIe siècle reconvertie en spacieux gîte. Nous avons
beaucoup de projets pour cette semaine, et pour pouvoir les mener à
bien, nous devons à peine arrivés aller équiper deux cavités: le
gouffre du PDG (pont de Gerbaut) et le gouffre Pierre. Nous sommes
fatigués par le trajet, la tentation de rester là à siroter des
bières est grande mais on ne renonce pas au GASOIL, on lâche rien!
Nous formons
alors deux groupes. Elo, Noé et Cyp iront au gouffre Pierre, tandis
que Guillaume, Pierre et moi prenons en charge l’équipement de
PDG.
On fait les
kits, on charge le bourlingot puis direction le massif d Arbas. Après
45min de route tortueuse, nous voilà au hameau de la Paloumere.
L’équipe du gouffre Pierre, qui nous suit depuis Arguenos,
continue son chemin en direction du parking de l’ours. Nous, nous
tournons à droite pour gagner le parking de Pene Blanque.
La nuit commence
à tomber, nous enfilons nos combis, puis commençons la marche
d’approche. Nous traversons une magnifique forêt, où d’épaisses
étendues de mousses tapissent les rochers à l'ombre de hêtres
centenaires. Après une vingtaine de minutes sur un agréable
sentier, nous voilà au niveau d’un cairn, repère qui nous indique
qu'il faut prendre à gauche, droit dans la pente. L’ascension est
raide et après une bonne suée nous atteignons enfin le porche de
PDG.
L’entrée est
superbe, nous sommes sur la lèvre d’un beau puits circulaire d’une
dizaine de mètres de diamètre. La végétation omniprésente donne
un côté enchanteur au lieu. Par une seconde entrée inclinée, nous
parvenons sans corde à la base de ce premier puits. La suite, elle
se présente derrière un gros bloc, sorte de garde-corps naturel
derrière lequel un large P? s'enfonce dans les entrailles d Arbas.
La cavité est déjà équipée, nous doublons quand même avec nos
cordes. Peu d’hésitations sur l’itinéraire, un froid courant
d’air est toujours là pour nous montrer le chemin. Après quelques
puits et un petit ramping, nous posons pieds dans les grandes
galeries de PDG.
Nous parcourons
aisément quelques centaines de mètres jusqu'au puits de la
tyrolienne, notre terminus pour aujourd'hui. Comme nous projetons de
faire la traversée hérétiques-penes blanques dans la semaine, nous
en profitons pour jeter un œil à l’embarcadère. Le niveau d’eau
dans la rivière de PDG est bas, nickel ! Sur le retour, nous en
profitons pour faire quelques photos dans la salle Elisabeth.
Remontée des puits, chemin en sens inverse en évitant les
croche-pieds des racines des hêtres, on arrive à la voiture à
22h30. Synchro GASOIL oblige, on se retrouve, avec nos amis du
gouffre Pierre, presque en même temps au gîte où nous clôturons
cette première journée sur la coume autour d’une bière!
Pour Noé, Cyp
et Elo l’équipement fut rude, ardue ! trois cerveaux
n’étaient pas de trop ! Noé se lance courageusement en
premier, déroule un kit et commence à bloquer dans le puits noir, un
P80 de tout bôtée ! « z’avez pas vue les spits…je
les cherche partout ! ». Pendant qu’il s’en tête, Cyp
et Elo s’amuse à des techniques secours sur la main courante
aérienne au-dessus d’un plancher de ferrailles instable utilisé à
l’époque pour descendre le matos et les bonhommes. Maintenant
c’est devenu un peu dangereux de marcher dessus, surtout quand les
copains sont dans le puits ! Précaution est de mise ! Après
avoir fait joujou, Elo et Cyp volent au secours de Noé qui en a
marre et fait un plein pot jusqu’en bas. Elo repère un spit
manquant et Cyprien devine ensuite la ligne Hors cru ! Quelles
acrobaties vertigineuses nous fît-il ! 4h pour équiper un P80…
les légendes disent qu’ils en rigolent encore…
Il est temps de
rentrer au gite pour un repos bien mérité autour des pattes
Carbo à l’huile des olives du président (#haha) : tant que
l’appétit va tout va !
Dimanche 29
décembre : Puits Delteil et un copain en plus !
(Gouffre
Raymonde + Arrivée de Guillaume S.)
Pendant qu’un
groupe courageux se rend dans Raymonde (#blaguedebeauf), Elo va
chercher son chéri et Septième membre du groupe à son co-voit !
Voici le périple
vue par les yeux de CYP :
Nous voici donc
pendant notre première vraie journée à la Coume. Il est prévu sur
le programme de chatouiller le gouffre Raymonde, et surtout de
descendre au fond du Puits Delteil. Un trésor de grande valeur y est
caché d’après notre formateur Tot !
Elo nous
abandonne pour la journée, elle part chercher Guillaume à Toulouse.
L'excuse étant bonne, nous ne lui avons pas tenu rigueur de son
absence !
Nous partons avec
le camion de Noé. Nous continuons à pied, raisonnablement chargé.
L'entrée est découverte après une petite hésitation d’itinéraire,
mais rien de bien méchant.
C'est à ce
moment-là que les choses se compliquent. Personne ne semble
véritablement motivé pour entrer sous terre ! A tel point que
Pierrot nous vantera des heures durant son fameux nœud de chaise
espagnol. Il est d'ailleurs descendu dessus ! Et figurez-vous
que ça tient ! Enfin, bon, ou plutôt, enfin voilà, nous
sommes désolé Pierrot, mais devant un coulissement chelou des
oreilles, le reste de l'équipe décidera de refaire un chaise
double, certes moins classe, mais beaucoup plus traditionnel.
La descente des
puits se déroule sans problème jusqu'à la salle de l’écureuil.
L’équipe décidera de manger en haut du puits Ned, pendant que
GuiGui, tel un moineau héroïque, équipera la belle verticale.
Notons que la
corde n’était pas forcement tout à fait suffisamment longue, et
qu'un petit bricolage fut obligatoire pour ne pas descendre les
derniers mètres en libre !
Et là, c'est
l'arrivé dans la très belle rivière du Raymonde ! Son teins
noir parsemé de jaune est séduisant.
On ne remplit
presque pas les bottes dans cette rivière, sauf à deux endroits.
Au premier fut
inventé un concept de progression révolutionnaire pour l'activité !
Il s'agit de « l'opposition caussenarde ». Le principe
est simple, imaginé un caussenard hésitant à se mouiller les
pieds. Ses camarades bienveillants lui disent de passer au-dessus de
la vasque en opposition. Le caussenard, aux connections neuronales
affectées par la consanguinité bien connue des hauts plateaux,
finira par passer tout droit en se mouillant jusqu'à mi-cuisse !
Finalement la
joyeuse équipe arrive au sommet du fameux Delteil. Bien sûr nous
sommes avant cela passés sur des mains courantes en fixes brochées
par Mathis et Elo. Nous avons bien pris garde de ne pas trop nous y
pendre, on ne sait jamais...
La première
partie du puits est vite équipée et bien fractionnée. Mais après
le palier, c'est la misère. Pierrot nous fera deux immenses badées,
avec un frac école entre les deux... un spit pas trop glorieux et
une fine lunule.
Cette dernière,
qui devait se sentir inconfortée par cette sangle qui l’enlaçait
intimement, préféra s'éclipser discrètement.
En clair, nous
sommes remontés sur un brave mono point comme on les aime !
Heureusement un
dernier frac sur un gros AN sableux à quelques mètres du sol
contentera tout le monde.
En bas, point de
trésors, mais quel spectacle ! Imaginez une cascade qui tombe
de 100m dans une belle vasque dorée. Ambiance garantie ;
température aussi !
Une belle
rivière s’échappe de la vasque. Quelques curieux feront de petits
pas d'escalades pour aller au sommet du puits suivant. Il fait envie,
vraiment il est frustrant de s’arrêter là... mais nous
reviendrons !
Petites séances
photos par notre célèbre président photographe, et c'est reparti
pour la remontée. Elle se passera sans histoire. Notons juste que
GuiGui et moi-même nous sommes trompés de chemin dans la rivière,
et que nous avons dû escalader une paire de cascades au lieu de
passer tranquillement par une galerie facile. Charmante cette
Raymonde, mais elle mouille...
Retour dehors,
il fait toujours beau, mais pas très chaud. C'est donc d'un pas
pressé que nous regagnons le camion.
En conclusion,
ce fut une très belle mise en jambe pour la sortie du lendemain ;
le très beau et terrifiant Gouffre Pieeerre !
21H tous à la
maison ! Salade de pâte prête pour les enfers du siphon de
fer, les kits sont remplis, tous au lit ! Une grosse journée
nous attend demain. On décide d’une équipe lève tôt (Cyp,
Guillaume S. et Elo) et une équipe de lève tard (Mick, Guillaume
L., Pierro).
Lundi 30
décembre … et puis Mardi 31 décembre matin: L’Enfer du
PiAAEERRRREEE
TPST :
18H30
Entrée 10H30
pour le G1 dans le Gouffre Pierre. Bon Timming et Coordination
d’équipe. Quand l’équipe du G1 a fini de dérouler ses Kits
(oui, nous en avons 11), le G2 arrive pour prendre le relai.
Entre
frottements, perte de contrôle, remplacement de cordes, rééquipement
du président drastique, de fer, blanc et noir calcaire, escalades
périlleuses, on arrive à la rivière et au siphon de fer,
agrémenté par une trempette de Guillaume S. pour empêcher sa
belle de tomber à l’eau… Le siphon en effet se trouve au bout
d’une longue galerie harassante. Les déplacements sur le calcaire
noir escarpé ne sont pas aisés, l’eau est profonde, la fatigue
commence aussi à arriver. Il est 21H. Néanmoins l’objectif est
atteint on est content, un long chemin de retour nous attend. « Hit
the Road Jack ! »
Ployant sous le
poids des 11 kits, l’équipe sort à 5H du matin avec l’odeur du
café préparé par Mick (ce n’est pas notre président pour rien)
c’est bon pour le moral !
Pendant que
certains (ok certaine) s’endorme tout habillé dans leurs lits, les
autres dégustent la bière de la réussite ! Profitons de
quelques heures de sommeils tout de même…
Mardi 31
décembre (suite) : Ils finirent à 10 !
Damien, Céline
et Mélina nous rejoignent pendant la journée! Noé, Guillaume S et
Elo partent chasser la raclette pendant que les autres nettoient et
rangent le matos (malin hein ? ;)).
Bonne Année et
Vive l’esprit des cacahuètes !!!
Mercredi 01
Janvier : Tourisme !
Mode touriste
activé ! Une partie décide d’aller « s’balader
sur l’avenue » du Pic du Midi, avoir le souffle coupé par
une vue incroyable et profiter du soleil. Pendant ce temps,
l’appel du monde souterrain happe Damien, Pierre, Cyp et Guillaume
L. et les emmènent tout droit dans Blagnac.
CR
du Blagnac
Pour
bien poursuivre la semaine, il se décide d'aller faire un tour au
Gouffre Blagnac.
L'équipe
composée de Damien, Cyprien, Guigui Lebret et Pierre se lance dans
la recherche du trou. Il semble être non loin du gouffre Pierre.
On
brasse dans les pentes pendant 30 bonnes minutes, jusqu'à trouver le
trou au pied d'une barre rocheuse. Après quelques barres et petit
pique-nique, Damien se lance dans l'équipement. Ça enchaîne ! À
une vitesse folle! Un rythme tel, que certains n'en reconnaîtront
même pas le trou malgré l'avoir fait ! Je passerai les détails sur
les histoires de mémoire défectueuse...
Après
la descente du premier grand puits, on arrive au départ d'une main
courante direction le second grand puits du gouffre qui s'avère être
équipé avec le CUL ! La roche est mauvaise, les spits sont très
rares, ça menace de casser partout. Guigui s'y jette avec vaillance
en tête de ligne, et arrive malgré la rareté des amarrages dispos
à toucher le fond ! Un grand chapeau !
Pierrot
rééquipe derrière avec l'efficacité d'une poule armée d'une clé
à molettes. Nous y perdrons donc du temps pour finir enfin par taper
le fond et aller voir une paire de siphons dont l'accès était assez
étroit, plutôt bas et trempant pour les pieds.
Mon
résumé pour ce trou, c'est que techniquement c'est intéressant de
plonger, c'est pas trop dégueu, et le dernier grand puits est beau
malgré qu'il soit péteux (mais ça reste mon avis ).
Cette journée
fut fortement instructive : Nous avons trouvé le point
faible de Damien, sa cryptonite... la raclette !
Préparation des
repas pour la journée du lendemain et du matos : Une traversée,
on voyage léger !
- 4
kits de matos (1 corde d’au moins 35m dans chacun et un 8 de canyon
pour le rappelable)
- 2
kits Bouffes et matos perso
- 2
kits avec le reste des Néops et affaires sèches
Jeudi 02
janvier : croque ouarnede ou coume montagne ? la sortie des
prises de guerres !
(Traversée
Hérétique-Penne Blanque)
TPST :
11H
Caractéristique
principales :
Une des Grandes
Traversée du Réseaux ! Vous en avez rêvé ! + de 5km,
une rivière souterraine, des cascades vertigineuses, des mains
courantes aériennes… Du grand spectacle mesdames et messieurs !
Nous avions
décidé de Prendre 4 kits avec des C40 ou C35 pour que l’équipement
soit fluide et ne pas perdre de temps sur les enchaînements de
rappels. Le chemin est très bien balisé, nous filons après un
repas succins vers 13H30 au travers des réseaux ???. Il est 15H
et le débarcadère est bien là ! Il est 15H30, de néoprènes
vêtues, nous prenons le bateau et affrontons la belle rivière du
PDG et ses cascades grandioses. Mick en plus d’être président à
pleins temps, sera notre photographe pour capturer les paysages
souterrains et l’atmosphère qui nous entoure. On débarque après
une main courante vertigineuse à 18h. L’eau à 8° ça va
bien un moment. Après un deuxième repas et un café chaud, on
repart pour des réseaux fossiles et des pans inclinés remontant à
perte de vue. Après le grand froid… le Grand chaud ! Pendant
que les Garçons s’amusent à courir sur les genoux, Noé et Mick
attendent patiemment Elo qui commence à souffler un peu et à
prendre une teinte rouge inquiétante…
Il est 21H30 et
nous sommes à la sortie de Penne Blanque, à flanc de falaise !
Après avoir trouvé un AQ de lampe, Un 8 de canyon, nous finissons
les courses avec une pédale et un basic ! Belles prises de
guerre !
On retrouve
notre « Damien-mutant », encouragé par ses deux poulains
Cyp et Pierre. Non content d’une grande trav avec canyon
souterrain, ils s’en vont déséquiper PDG : « comme ça,
ça sera plus à faire ! » ! (Ha d’accord !)
Histoire de
vraiment se fatiguer, ils rentrent en petit footing pendant que Noé
nous fait la surprise (pour lui aussi) de déboucher deux bouteilles
de bière artisanales précieusement couvée par son camion pour ce
genre d’occasion! Je veux le même !
Vendredi 03
janvier : Tourisme Again
Ils se
retrouvèrent à 8 ! Guillaume S repart avec Damien, Elo squatte
la famille du président pour aller à Lourde désober la tutte au
cochon et partir à l’assauts du château à l’aide d’une
sardine.
Pendant ce
temps-là, Cyp et Noé randonnent sur les cimes de la Coume et Pierre
et Guillaume équipent le gouffre Cécile et arrive par le
plafond du TDV. EXCELLENT !
Samedi 04
janvier : Bye Bye la Coume !
Le chemin du
retour se fait sans encombre… Noé se concentre pour son Trail du
lendemain pendant que Pierre paye une amende pour stop grillé. Mais
c’est une autre Histoire !
Nous sommes
venu.e.s, Nous avons vue, Nous sommes descendu.e.s !
Merci de ce
séjour et de cet esprit des kits inébranlables !
Que le GASOIL
soit avec vous.
Elo tomato.
l'équipe de choc! |
Gouffre du Pont de Gerbaut:
Gouffre Raymonde:
traversée Hérétiques / Pènes Blanques :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire